A COURT TERME :
- Des conférences à l’Espace Louis Simon ou dans tout autre lieu pertinent :
- de personnalités engagées,
- de chercheurs,
- de responsables institutionnels (Nations Unies – Structures françaises ou suisses, etc.).
- La recherche de parrainages (Artistes, écrivains, personnalités, etc.)
- Le renforcement des relations avec les universités pour que le concours de plaidoiries se pérennise.
- La consolidation du réseau des associations « amies ».
- Des collaborations avec les associations (locales, nationales et internationales) ayant le même objet.
- Une manifestation à définir pour la journée des Droits de l’Homme (10 décembre) et pour la journée internationale des Femmes du 8 mars.
- La reconduction du festival sur trois jours.
A MOYEN TERME :
- La mise en oeuvre d’un laboratoire d’analyses des actions conduites en faveur de la cause des femmes.
- Des conférences d’adhérents dans les associations locales, dans le cadre de collaborations en devenir.
- La participation à des instances de réflexion.
- La formation des adhérents. Accompagner les jeunes adhérents à devenir des militants actifs susceptibles de prendre la direction de l’association.
- La mise en réseau plus efficiente des compétences et des talents.
- Les premières questions aux élus et aux décideurs.
- L’utilisation des réseaux sociaux et la gestion éditoriale de nos propres réseaux.
- La mise en oeuvre d’un partenariat avec les médias.