Festival 2020 : Théâtre – « Inventaire » de la Cie de l’Une à l’Autre

INVENTAIRES … Un spectacle prenant et étonnant !

Un jeu télévisé : trois candidates, Jacqueline, Angéle et Barbara se racontent à travers leur objet-témoin :
Jacqueline et sa cuvette ! Angèle et sa robe ! Barbara et son lampadaire !

La parole des femmes est à l’honneur, le marathon peut commencer dans un rythme effréné, orchestré par la voix off manipulatrice du présentateur Igor.
Situations cocasses, récits qui se croisent, se coupent, s’entrecoupent… mots vifs, vrais, flots de paroles interrompus au passage.
Dans un joyeux désordre et une humanité mise à nue, ces trois  femmes nous entraînent dans leur vie, telle une valse, sans mélancolie, sans fausse pudeur et offrent leurs paroles avec générosité, sincérité et drôlerie.

Réservez vos billets en ligne : en cliquant ici

Tarif « Adulte » : 18,00€
Tarif « Moins de 16 ans » : 10,00€

Pièce de théâtre de Philippe Minyana présentée par la Cie de l’Une à l’Autre et la Cie Entre Vous et Moi.

 

Festival 2020 – Film : « Silence Radio » de Juliana Fanjul

Projection gratuite du film « Silence Radio » le vendredi 25 septembre à 20h30 à l’Espace Louis Simon (Gaillard – 74 Haute-Savoie).

Le film sera suivi d’un débat en présence de la réalisatrice Juliana Fanjul.

Mexico, mars 2015, Carmen Aristegui, journaliste incorruptible, est virée de la station de radio qui l’employait depuis des années. Soutenue par plus de 18 millions d’auditeurs, Carmen continue son combat. Son but : réveiller les consciences et lutter contre la désinformation. Ce film raconte l’histoire de cette quête difficile et dangereuse mais indispensable à la santé de la démocratie. Une histoire où la résistance devient une forme de survie.

Entrée gratuite.

Festival « La cause des femmes » 2020


PROGRAMME 2020

 

Vendredi 25 Septembre – 20h30
Projection du film « Silence Radio » suivi d’un débat avec la réalisatrice Juliana Fanjul.

Mexico, mars 2015, Carmen Aristegui, journaliste incorruptible, est virée de la station de radio qui l’employait depuis des années. Soutenue par plus de 18 millions d’auditeurs, Carmen continue son combat. Son but : réveiller les consciences et lutter contre la désinformation. Ce film raconte l’histoire de cette quête difficile et dangereuse mais indispensable à la santé de la démocratie. Une histoire où la résistance devient une forme de survie.

 

Samedi 26 Septembre dès 12h
Rencontre avec les associations et les artistes engagés.

La rencontre des associations invitées dans l’espace convivial du bar et de l’atrium permet au public de tisser des liens, proposer des actions dans un décor agrémenté des œuvres des artistes qui nous soutiennent (Robert COMBAS, Mylène BESSON, Mychel BLANC, Joël DELEPINE) dont une œuvre originale créée pour l’événement par le peintre mondialement connu Gerardo CHAVEZ… à venir découvrir lors de ce Festival.

 

Samedi 26 Septembre – 15h
Concours international de plaidoiries – L’événement à ne pas manquer …

Six étudiants des facultés de droit de l’université Savoie Mont-Blanc de Chambéry et de l’université de Genève vont s’affronter dans des joutes oratoires de haut niveau lors du concours de plaidoiries sur le thème :  « Le harcèlement, moral ou sexuel, suppose-t-il toujours une provocation, fut-elle involontaire, voire inconsciente, de la part de celui ou de celle qui en est la victime ? »

Suite aux succès des trois premières éditions, à la richesse des argumentaires lors des Festivals 2017/18/19, nous attendons avec impatience ces nouvelles joutes verbales sur un sujet qui ouvre de nombreuses perspectives …

Un prix du public viendra récompenser la prestation qui aura le plus emballé le public.

 

Samedi 26 Septembre – 20h30
Pièce de théâtre « Inventaires » de la Cie de l’Une à l’Autre et la Cie entre vous et moi

Un jeu télévisé : trois candidates, Jacqueline, Angéle et Barbara se racontent à travers leur objet-témoin :
Jacqueline et sa cuvette ! Angèle et sa robe ! Barbara et son lampadaire !

La parole des femmes est à l’honneur, le marathon peut commencer dans un rythme effréné, orchestré par la voix off manipulatrice du présentateur Igor.
Situations cocasses, récits qui se croisent, se coupent, s’entrecoupent… mots vifs, vrais, flots de paroles interrompus au passage.
Dans un joyeux désordre et une humanité mise à nue, ces trois femmes nous entraînent dans leur vie, telle une valse, sans mélancolie, sans fausse pudeur et offrent leurs paroles avec générosité, sincérité et drôlerie.

Pièce de théâtre de Philippe Minyana jouée par la Cie de l’Une à l’Autre et la Cie entre vous et moi (avec Bénédicte Lafond, Dominique Chevaucher & Pascale Rocard).

 

 

Festival 2019: Spectacle – Sophia ARAM « A nos amours… »

SOPHIA ARAM

“A nos amours…”

Après un premier spectacle sur l’école, un second sur les religions et un troisième sur la montée des extrêmes, Sophia poursuit son observation de la société en revisitant nos préjugés, nos héroïsmes et nos petits arrangements avec l’amour.

Le point de départ du spectacle vient de ma surprise face à un étonnement. Celui des commentateurs au sujet de l’affaire Weinstein. Pourquoi avait-il fallu attendre cette affaire et le mouvement #MeToo pour « découvrir » l’ampleur des violences faites aux femmes ?

Il faut attendre que Sharon Stone attrape un coup de soleil
pour découvrir le réchauffement climatique ?

 

 

Non pas que le sujet soit Méconnu ou insuffisamment documenté, mais il était visiblement rangé sur l’étagère de la violence ordinaire à une époque où il n’était plus de mise « d’en faire trop avec le féminisme » devenu aussi « obligatoire » que « ringard » au prétexte qu’il aurait « déjà gagné ».

 

Et pendant ce temps-là, Patrick Juvet s’égosille sur les femmes-femmes-femmes qui ont perdu leurs flammes-flammes-flammes en… préférant les motos aux oiseaux.

 

 

Ma conviction est, qu’en matière de violence faites aux femmes mais aussi de sexisme, le sujet reste entier. Et pour cause, je pense que le second nourrit et permet le premier et qu’il n’y aurait pas ce niveau de violence envers les femmes sans sexisme. Comme il n’y a pas d’actes antisémites, racistes ou homophobes sans préjugés sur les Juifs, les Noirs, les Arabes, les Blancs et les homosexuels, il n’y a pas de violence contre les femmes sans sexisme.

 

Évidemment, si tu penses que l’assurance chômage est responsable de l’oisiveté et que le mariage gay annonce la fin de la famille, je ne vois pas pourquoi la dénonciation des violences sexuelles ne pourrait pas être responsable de l’impuissance…

 

Le sexisme étant loin, très loin d’être réservé aux hommes, il convient de faire ensemble l’inventaire de cet héritage culturel tant il est présent partout : l’éducation, la musique, les contes de fées, la religion, la sexualité mais aussi la manière dont on traite la question de l’ambition, du désir, des menstruations en même, ce qui est un comble, des violences faites aux femmes.

 

L’amour, cet îlot de sincérité perdu dans un océan d’idées reçues.

Sophia

 

 

Festival 2019: Concours de plaidoiries

L’événement à ne pas manquer …

Six étudiants des facultés de droit de l’université Savoie Mont-Blanc de Chambéry et de l’université de Genève vont s’affronter dans des joutes oratoires de haut niveau lors du concours de plaidoiries sur le thème : 

« L’homme, une femme comme les autres ? » 

Suite aux succès des deux premières éditions, à la richesse des argumentaires lors des Festivals 2017/18, nous attendons avec impatience ces nouvelles joutes verbales sur un sujet qui ouvre de nombreuses perspectives …

 

Programme:

15:00 Plaidoiries

18:00 Remise des prix

 

Prix:

1er prix: 2000 €

2ème prix: 1500 €

3ème prix: 1000 €

Finalistes: 500 € 

Un prix du public viendra récompenser la prestation qui aura le plus emballé le public. Venez donc juger par vous même et participer au vote!

 

Jury: 

Les membres du jury seront confirmés dans les semaines à venir

 

Festival 2019: Théâtre « Au fond c’est pas si grave »

Elles reviennent !!!

La Compagnie de L’une à L’autre présentera une pièce de théâtre sur les femmes où l’humour et le tragique se côtoient avec force!

Deux écritures, deux univers se croisent et se superposent : celui de Xavier Durringer (d’après Chroniques des jours entiers, des nuits entières et Histoires d’Hommes – Editions Théâtrales) où les femmes disent leur souffrance, leur solitude avec des accents de révolte, des larmes… mais aussi avec tendresse et humour! Et celui des deux comédiennes, Dominique Chevaucher et Bénédicte Lafond qui ont bâti des portraits de femmes hauts en couleur à partir d’un travail de recherche et d’improvisation inspiré de l’univers de la Bande dessinée et de la presse féminine où les femmes se dévoilent avec humour.

Elles sont « une » et toutes à la fois et nous confient leurs maux, grands et petits … et c’est drôle et émouvant !

Plus qu’un coup de cœur, Cette création de la compagnie, correspond à l’aboutissement ou plutôt l’étape d’une histoire, d’une collaboration professionnelle, une envie vieille de 12 ans.

Comment cette création est née ?

En travaillant en 2004 sur un projet autour du couple «Toi Moi.. Nous deux», il y avait l’idée d’insérer des textes sur les femmes ou écrits par des femmes et qui montreraient les femmes dans leur quotidienneté quelle soit drôle ou tragique de la BD et des textes. En découvrant l’univers de la BD et ce qui pouvait être adapté pour le théâtre l’envie est rapidement venue de mettre cet univers comme trame possible d’une création. Une création qui serait jouée uniquement par des femmes.

Alors nous avons commencé à écouter les femmes autour de nous, amies, famille, à prendre au vol les conversations dans les magasins, les salles d’attente. Et quelques thèmes sont apparus dont deux en particulier que nous avons retenus : l’apparence physique et le vieillissement. Les femmes surtout à partir de trente ans parlent beaucoup de l’aspect physique, des kilos à perdre, des rides, du corps qui change, de la chirurgie esthétique. Très souvent elles se sentent agressées par une image idéale montrée à la télé et dans les magazines. Très souvent elles se sentent piégées par ces images. Et tout en voulant être détachées, elles s’aperçoivent qu’elles ne peuvent résister à ces images. Derrière tout cela ou en parallèle, les femmes parlent de leur vie, leur problème de couple, de solitude, d’incompréhension, de communication avec l’autre, l’autre étant souvent «l’homme». Ainsi, les histoires tragiques, les drames familiaux qu’on murmure, apparaissent en plein milieu d’une conversation, en pleins rires …

C’est cette dualité, ce paradoxe de la parole féminine que nous voulons mettre sur scène: D’un côté, les femmes qui se regardent sans concession, rient d’elles mêmes, s’angoissent du kilo pris, de la robe qui boudine, du sport que décidément elles n’arrivent pas à pratiquer régulièrement, de cet éternel vêtement qui manque dans sa garde-robe. Pour parler de tout cela nous avons choisi l’humour.

Mais derrière l’angoisse d’un corps parfait, des solitudes, des blessures profondes, une incompréhension. Des femmes blessées par des hommes qui n’ont pas su les aimer ou qu’elles no’nt pas su aimer, qu’elles ont mal choisis. La solitude de celles qui vont d’échec en échec. Dans le spectacle, toutes les scènes où les femmes regardent sans pitié leur corps sont comme un leitmotiv, comme un rappel permanent à cette image que lon veut montrer au monde de soi-même, image rêvée mais fabriquée. Et ces deux trames sont indissociables, entremêlées.

 

 

Pour plus d’informations sur le site internet de la compagnie : http://ciedelunealautre.com/

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